« Ainsi le roman, aussi âpre et brutal soit-il, n’est pas une plongée désespérée dans un abîme de perversion : il est avant tout un chant d’amour réciproque d’un fils et d’une mère l’iun pour l’autre, que celui-ci soit parfois maladroit, déplacé ou masqué par des arrière-pensées ou au contraire simplement exprimé et sincère. Il est un cri de résilience et de survivance. »
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